"funérailles de Passion" (Décidasse à celui qui se reconnaîtra)

Dans mes rêves je t’aime, sur la lune je t’aime, sur un champ de combat je t’aime, dans les ténèbres je t’aime.
Dans l’obscurité comme dans la lumière, je t’aime.

Je ne peux te donner le meilleurs, mais je peux t’offrir mon cœur car je t’aime.

Dans les abimes, comme sur terre, je l’aime.

Je me suis plongé dans ce gouffre de passion et d’espoir car je l’aime.

Sur ma vie et celles des Enfants de la Terre, je témoigne au nom des Dieux, qu’ils me damnent si je ne t’aime.
Je t’aime sur une colline, sur une montagne, dans un près de myosotis même si tu est loin de moi. Je t’aime si près de mon cœur, je t’aime à l’infini.
Je t’aime à en vivre et à en mourir. Je t’aime à épouser le désespoir.

Je t’aime  comme ces mots bien que  je pleurs mes maux.

Je t’aime sur un pavot de passion. Je t’ai gouté fruit défendu, j’ai mordu le fruit de la raison.
Je pleure tout simplement de n’avoir pu partager ce mot d’amour. Je souris les nuits de souvenirs éphémères, je sourie d’avoir croisé ton regard, de m’être allongé au côté de ton être. Je sourie d’avoir pu caresser l’âme de l’homme de mes rêves.

Je t’aime comme cette histoire, je t’aime comme la douleur qui m’envahit, je pleure comme la fin d’une vie, je pleure l’Amour qui m’est si chère.

Il n’y aura jamais assez de maux pour effacer le dessein de cette funeste mort car je l’aimais et je l'aime à la mort, à la vie.

Le Phoenix

le 7 juillet 2012

"Funérailles de Passion"